domingo, 29 de março de 2015

La Fin du Monde



Etat d'urgence: Ce est là que je suis avec vous. Me frustre de modestie et de prudence, les coutumes et les habitudes et devenir un vide en blanc, prêt à être rempli par sa présence. Lever pourtant il se trouve à l'ouest, la vie est une agonie sans fin, avez-vous vu Poso. Mais mes nuits ... ah! Ce fantaisie et d'enchantement sont-ils écoulés entre ses bras tziganes secrètes. Et je ose me défier, mais la seule pensée de garde me fait mal comme l'enfer et ses flammes; ma vie, toute ma peau, vous plaindre. Vous draine mes veines qui diamants liquides. Lorsque je me penche sur le brun de ses jeunes yeux, je vois la mer secrète qui existe en moi et qui est de plus en plus. Et je coule et je cours et devenir rivière impénitent et sauvage et pas moi doubler ne importe quoi et ne importe qui d'autre, pas à mon désir vorace. Je deviens cruel et possessif, tu vas-tu qui Medusa, tourner mon cœur, avant de pur, de la pierre et la poussière. Hécatombes réussir tragédies, mais alors que nous sommes deux couché ici, le monde va se effondrer et que Néron mis le feu à Rome plus de trois cents fois, si nécessaire. Manger dans cet amour malsain et insatiable, qui enfant qui ne connaît pas de limites, nous pensons que le tremblement de terre et voir le ciel tomber. Et dans vos bras fermer les yeux pour la dernière fois et puis sourire.

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